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Biographie [modifier]

Il fut élève à l'École normale supérieure, où il obtint l'agrégation de philosophie. Il fut prisonnier en Allemagne pendant la guerre, puis fut professeur d'université à Gand et à Lyon où il tint la chaire de "Philosophie générale, d'Anthropologie phénoménologique et d'esthétique".

Philosophie [modifier]

Influencé entre autres par Husserl, Martin Heidegger, Binswanger, il fut un des représentant en France de la phénoménologie. Toute sa vie, il questionna les conditions de l'existence comme ouverture à l'Être. Ses concepts de trans passibilité et trans possibilité sont particulièrement utiles aux psychothérapeutes. Ses champs de réflexion concernent la maladie mentale comme fléchissement des modalités d'existence, l'art et, bien sûr la philosophie. Philosophe discret d'une rare profondeur, nourrissant sa réflexion de la psychiatrie comme lieu d'expression tangible et aiguë de l'humain, il a influencé en retour nombre de psychiatres, de philosophes et d'artistes dont certains furent de ses amis (Docteur Jean Oury, Prof. Dr. Jacques Schotte, Tal-Coat, André Du Bouchet...).

Bibliographie [modifier]

  • 1945- La Dernière Porte in: Cahiers publiés par des prisonniers et déportés. Paris, Boivin
  • 1947- L’Homme Nietzschéen in: Les Grands Appels de l’Homme Contemporaine. Paris, édition du Temps Présent
  • 1949- Introduction à Tal-Coat in: Les Temps Modernes, n° 50
  • 1949- Jean Bazaine- La mort des prétendants in: Derrière le Miroir, n°23
  • 1950- Georges Braque in: Derrière le Miroir, n°25-26
  • 1953- Le faux dilemme de la peinture: Abstraction ou Réalité in: Revue de l’Université de Bruxelles, n° 5
  • 1953- Joan Miró in: Le Disque Vert, juillet-aout
  • 1954- Tal-Coat in: Derrière le Miroir, n° 64
  • 1956- Tal-Coat in: xx° siècle, n° 7
  • 1956- Bazaine in: Prisme des Arts, n° 7
  • 1958-1959- Pierre Lachièze-Rey, in Memoriam in: Kant-Studien, vol. 50
  • 1959- Tal-Coat 1959 in: Derrière le Miroir, n° 114
  • 1961- Comprendre in: Revue de Métaphysique et de Morale, n° 1-2
  • 1963- Les dévoilement des concepts Fondamentaux de la Psychologie à travers la Daseinsanalyse de Ludwig Binswanger in: Archives suisse de Neurologie, neurochirurgie et de Psychiatrie, vol. 92
  • 1964- La Fondation Maeght à Saint-Paul-de Vence in: Derrière le Miroir, n° 148
  • 1965- Tal-Coat 1965 in: Derrière le Miroir, n° 153
  • 1966- Die Entdeckung der ästhetischen Dimension in der Phänomenologie von Erwin Straus in: Erwin Straus: Conditio Humana, Springer, Berlin-New York
  • 1968- L’Esthétique des Rythmes in: Les Rythmes, Lyon
  • 1970- François Aubrun, peintures récentes, Editions de Beaune, Paris
  • 1971- En collaboration avec Roland Kuhn, Préface à: Ludwig Binswanger, Introduction à l’analyse Existentielle, Paris, éd. de Minuit
  • 1973- Regard Parole Espace, L’Âge d’homme, Lausanne
  • 1974- Le legs des choses dans l’œuvre de Francis Ponge, L’Âge d’homme, Lausanne
  • 1975- Aitres de la langue et demeures de la pensée, L’Âge d’homme, Lausanne
  • 1976- Psychose et Présence, Revue de Métaphysique et Morale, n°4
  • 1976- Pulsion et présence, in Psychanalyse à l’Université, tomo 2, n° 5
  • 1985- Art et existence, Klincksieck, Paris
  • 1987- Une phénomenologie à l’impossible:la poésie, in Études phénomenologiques, Louvain
  • 1988- In media vita, Comp'Act, Seyssel
  • 1988- Chair et verbe dans la philosophie de Merleau-Ponty, in Merleau-Ponty, le psychique et le corporel, Aubier, Paris
  • 1989- L’existence en question dans la dépression et dans la mélancolie, in L’Évolution psychiatrique, 54
  • 1990- Crise et temporalité dans l’existence et la psychose, in Empreintes et figures du temps, éd. Erés, Toulouse
  • 1990- La dimension du contact au regard du vivant et de l’existant, in Le contact, ed. J. Schotte, Bruxelles
  • 1991- Vers quelle phénoménologie de l’art?, in La part de l’œil, n° 7
  • 1991- Penser l’homme et la folie, Millon, Grenoble
  • 1993- L’Art, l’éclair de l’être, Comp' act, Seyssel
  • 1993- Le Vouloir-dire de Francis Ponge, Encre marine, Fougères-La Versanne
  • 1995- Aux déserts que l’histoire accable: l’art de Tal-Coat, Deyrolle, Cognac
  • 1997- Avènement de l'œuvre, Théétète éditions, Saint Maximin
  • 2000- ouvrir le rien l'art nu, Encre marine, Fougères, 42200, La Versanne
  • 2001- existence : crise et création, Encre marine, Fougères, 42200
PR

 est un philosophe d'origine belge, résidant depuis de nombreuses années en France. D'abord physicien de formation, il s'oriente rapidement vers la philosophie, et plus précisément vers la phénoménologie issue de Husserl, dont il est actuellement l'un des principaux représentants en France. Sur l'origine et le sens de son parcours philosophique, Richir s'est lui-même expliqué comment suit :

“Il est toujours extrêmement difficile, voire impossible, de situer ce qui a pu motiver à l'origine un parcours philosophique. Après avoir terminé une maîtrise en physique, j'ai repris des études de philosophie. Tout de suite je me suis senti, avec la phénoménologie, “un air de famille”. L'atmosphère de l'époque (en 1968) était cependant à autre chose : le structuralisme, Heidegger, Derrida. Mon parcours a été rétrospectivement un long détour pour retrouver ma famille d'origine, comme une courbe rentrante qui m'a fait sortir de Derrida par Heidegger, de Heidegger par l'idéalisme allemand, etc., pour finalement revenir à la phénoménologie. A l'écart cependant du cheminement de Husserl et de Heidegger, ce qui a motivé mes propres méditations était la question du statut du phénomène comme rien que phénomène (et non comme phénomène d'autre chose), phénomène présent partout dans la tradition sous la forme de ce que Kant a nommé “illusion transcendantale”. Cette même courbe m'a conduit à comprendre le statut de ce que je nomme l'institution symbolique comme ce qui distribue à notre insu tout ce que nous considérons comme allant de soi, tous nos comportements (sociaux, politiques, individuels), qu'ils nous paraissent les plus intimes ou les plus acquis au contact des réalités. Dès lors l'analyse phénoménologique prend un autre tour : consistant à montrer que ce qui relève de l'institution symbolique n'est “vivant” que s'il est transi par le “tremblement” en lui des phénomènes comme rien que phénomènes, par ce que Merleau-Ponty nommait le “bougé”, à savoir des aires d'indétermination qui ouvrent à l'élaboration symbolique. Les consignes méthodologiques de Husserl vont dans le même sens si elles sont bien comprises : suspendre les déterminations symboliques qui recouvrent les phénomènes en ouvrant ces aires d'indétermination, puis enrichir ces dernières par les potentialités de sens impliquées dans les plis de la signification de chaque phénomène en ce qu'ils ont d'infini (apeiron) et d'indéfini (aoriston). Dans cette perspective, et à l'encontre des auto-encombrements scolastiques de la philosophie analytique aussi bien que de l'idéologie naïve de la métaphysique cognitiviste, la phénoménologie laisse autant de chantiers ouverts à l'analyse qu'il y a de problèmes et de questions pour la condition humaine. Husserl est un peu comme Moïse qui a vu la terre promise sans en fouler le sol et sans doute sera-ce le cas de tout membre du “peuple phénoménologique”. Posture inconfortable certes, que peu ont accepté et accepteront de partager, mais qui, dans le champ actuel de la philosophie, reste la seule à la mesure de l'exigence que la philosophie porte avec elle depuis son commencement platonicien. La phénoménologie est bien en ce sens un surgeon de la tradition moderne de la philosophie : loin de s'envaser dans le tout et le n'importe quoi de l'auto-proclamé post-moderne, elle a, à chaque fois, à tout reprendre, non pas depuis une illusoire tabula rasa qui casserait l'histoire en deux, mais depuis la rémanence de ces questions et problèmes, dont l'éclaircissement promet une meilleure compréhension de notre condition. Délivrée du pathos du fondement absolu, la phénoménologie sait que les questions ultimes resteront toujours pour elle sans réponse définitive” (“Autant de chantiers ouverts pour l’analyse phénoménologiques” (Entretient), in Le magazine littéraire n°403, Paris, 2001, p. 61).

Marc Richir publie principalement - mais pas exclusivement - dans la collection Krisis (éditions Jérôme Millon), qu'il dirige. Il est aussi le fondateur de l'Association pour la promotion de la phénoménologie, qui publie la revue Annales de phénoménologie ainsi qu'une séries de Mémoires sur diverses questions phénoménologiques.

Dans ce qui suit, on distinguera l'œuvre éditoriale de Marc Richir, et puis son œuvre proprement philosophique.

Œuvre éditoriale [modifier]

Durant sa première période d'activité philosophique, Marc Richir participe à la création de la revue Textures, avec, entres autres, Max Loreau Cornélius Castoriadis, Claude Lefort, Marcel Gauchet, etc. À la fin ds années 80, il devient directeur de la collection Krisis, chez l'éditeur Jérôme Millon (Grenoble). Il publiera alors un grand nombre de classiques de la philosophie et de la phénoménologie : Le Livre des XXIV philosophes, Suarez, Schelling, Condillac, Husserl, Binswanger, Patocka, Maldiney, Simondon, Kimura Bin, E. Strauss. Il publie aussi des études historiques et des commentaires importants, comme ceux de J. Taminiaux, F. Pierobon, J. Greisch, S. Breton, etc. On soulignera la qualité des traductions publiées par Richir, et en particulier des traduction des inédits de Husserl (Hua XXIII, Hua XXXIV, Hua XXXIII, Hua XXXV, Hua XXXIII), qu'ils révise et discute et résonne intégralement.

L'oeuvre éditoriale de Richir est donc d'une immense importance. Non seulement du fait d'avoir su rendre accessible - par des traductions - pour le monde francophone des textes de la tradition philosophique et phénoménologique, des livres de bibliographie secondaire aujourd'hui indispensables (par exemple les travaux sur Kant de Frank Pierobon) mais aussi et avant tout par la rigueur et l'élaboration qu'il y a dans les traductions de Husserl qu'il révise, discute et raisonne. C'est ainsi et avant tout par le biais des traductions que Richir a eu le mérite de joindre à une réception non banalisée de Husserl, cette réception ayant été souvent déformée par l'interprétation heideggeriano-derridienne. Les traductions avalisées par Richir, ne fut-ce qu'au niveau du choix terminologique, en disent déjà long sur la finesse et la profondeur de la pensée de Husserl (citons, par exemple, toutes les nuances faites par Husserl entre Leib et Körper, déclinées en körperliches Leib ou leiblicher Körper, que les traducteurs auraient bien tort de négliger).

Refonte de la phénoménologie [modifier]

1. La méthode

Marc Richir est incontestablement le plus grand phénoménologue vivant. Il s'est attelé pendant de nombreuses années à une refonte de la phénoménologie. Cette entreprise, qui a déjà porté des fruits considérables, part de la réduction architectonique qui met en évidence la clignotement phénoménologique, autrement-dit le caractère essentiellement discrétisé (discontinu) de tous les actes de conscience, et notamment de la conscience sensible. Richir est en effet le premier phénoménologue à avoir soupçonné les idéalisations mathématisantes qui sont à l'oeuvre chez Husserl, et l'avoir rendu à son exigence initiale de description. La description ne doit pas surdéterminer ce qu'elle est sensée décrire, or Husserl lui-même s'est trop souvent employé à ce genre d'idéalisation qui doit, selon M. Richir, être corrigée dans le sens d'une fidélité encore plus grande au vécus. La perception n'est pas réductible à la simple déformation cohérente de l'objet sous le regard, ou alors faut-il reconnaître le caractère exceptionnel de cette conscience purement perceptive qui nous fait effectivement assister à la perception comme une déformation cohérente. Il faut, comme il le dit lui-même, entendre dans l'expression "archi-tectonique" le terme "tectonique" qui révèle le caractère instable des objets qui attirent l'attention du phénoménologue. De ce point de vue, il se distingue incontestablement de l'herméneutique qui se saisit du texte de Husserl comme de n'importe quel autre texte, mais aussi de la tentation d'en durcir le trait en poursuivant une idéalisation formelle qui ne tienne pas compte du caractère heurté de la matière intentionnelle. La phénoménologie retrouve avec Richir sa vérité : la variation éidétique met en évidence des régimes d'apparaître, et révèle les types d'institution symboliques qui font la conscience même, mais elle ne prétend pas aller au-delà de ces actes d'élucidation. Elle ne vise aucune extériorité métaphysique.

2. Les méditations phénoménologiques

La phénoménologie n'est plus l'idée d'une science descriptive, elle est sa mise en pratique effective. Il n'en reste pas moins que Richir ne s'en remet pas pour autant à une phénoménologie de la vie (M. Henry), et ne traite pas de la conscience comme d'un chaos métamorphique rebelle à toute interprétation. On peut bel et bien distinguer des modes d'apparaître. Il conserve de ce point de vue, parce qu'il se soumet aux exigences de la description (qui présuppose l'identification d'un objet intentionnel) les grandes catégories de l'analyse descriptive (héritée des Idées directrices pour une phénoménologie de Husserl), la notion d'eidos (ou de région d'apparaître). En termes husserliens, on peut dire que c'est un phénoménologue contemporain du tournant cartésien : les Leçons sur la conscience intime du temps, la Crise des sciences européennes et la phénoménologie transcendantale, les Manuscrits de Bernau, Phantasia, imagination, souvenir, De la synthèse passive ne sont pas simplement des textes qu'il commente, mais qu'il ré-insère dans des problèmatiques qui sont les siennes, et qui touchent à des objets particuliers, essentiellement l'institution symbolique par excellence : le langage. De ce point de vue, il en réactive la conceptualité originale, et en renouvelle occasionnellement la forme (sans jamais procéder à des généralisations excessives, ni ré-insuffler des couples d'opposition magistraux. Il n'est pas heideggerien). C'est ainsi que dans "Méditations phénoménologiques", il distingue, d'une façon singulièrement méticuleuse (distinction soutenue par la description) plusieurs formes de synthèses passives, l'une au moins qui se rapporte aux intuitions sensibles et une autre qui se rapporte aux vécus qui me rapportent à autrui dans une transpassibilité vivante. C'est un moment essentiel de son œuvre, qui de ce point de vue nous autorise de sortir définitivement des chicanes du "solu ipse" entre lesquelles grippait le grand débat des années 50 (Sartre/Merleau-Ponty) : quel mode d'accès se donne pour être pensable en ce qui concerne le phénomène d'autrui ? A cette question difficile, il introduit l'importance accordé au "différé" qu'autorise le terme de trans-passibilité charnelle (Maldiney).

3. Les fragments phénoménologiques sur le temps et l'espace

Actuellement, par son récent ouvrage Fragments phénoménologiques sur le temps et l'espace, Marc Richir interroge en direction des événements de langage dans lesquels la parole se perd. Son objet est le langage (un certain mode de l'institution symbolique de le conscience). Il en résulte une bouffée sublime qui rattache ce texte aux grandes analyses que Richir a consacré à la relation entre mythe et raison. A partir de cette expérience princeps, Richir étudie (en termes nouveaux) les « schématismes de langage », et la manière dont le temps passe pour celui qui s'est inscrit dans les actes de langage. C'est ainsi que Richir re-actualise l'expression de "présent sans présence assignable" pour caractériser les actes de ce type, se distinguant sur ce point nettement de Husserl qui traitait du langage depuis la question d'une grammaire purement logique (cf. Vème Recherches Logiques). Pour Richir, le langage est originalement une expérience de dé-saisissement de la présence, et ne peut donc pas de ce point de vue être traité en termes kantiens (catégoriels). Un présent sans présence assignable, c'est en effet un présent suspendu, mis entre parenthèses. Il achève le dernier mouvement de sa refonte de la phénoménologie sous l'enseigne de la « phantasia », mouvement déjà engagé dans Phénoménologie en esquisses. Nouvelles Fondations. Si la conscience est une réalité mobile, heurtée, complexe, c'est parce qu'elle est inévitablement sujette à des réminiscences, des re-souvenirs, mais aussi des interruptions provoquées par la « phantasia ». Cette dernière se distingue chez Husserl de la représentation-de-phantasia qui se trouve être associée à un BildObjeckt (un objet image), alors que la Phantasia a une consistance éventuellement indépendante d'un support imageant (il s'agit d'un vécu intentionnel que la psychologie comprend en termes d'« image interne »). Ainsi, une conception tout à fait renouvelée de l'ordre husserlien de la constitution se révèle, moyennant ce que Richir appelle « transposition architectonique » depuis ce qui est désormais considéré comme le registre originaire et qui, loin d'être celui de l'effectivité perceptive, se trouve être plutôt celui de la phantasia-affection (schématisme / élément fondamental). Un des acquis les plus prometteurs nous semble être celui du caractère originaire de la non-positionnalité et, dès lors, la possibilité d'une analyse architectonique de la « doxa ».

Ce qui semble aller de soi se trouve, désormais, éveillé à son propre porte-à-faux.

Liens externes [modifier]

La phénoménologie richirienne : nouveau site qui mettra progressivement des textes de Marc Richir en ligne. Le blog associé au site s'attache, quant à lui, à centraliser les informations sur l'actualité des
http://nyk.xxxxxxxx.jp/

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02 Invisible Cities
03 Shirley Collins
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Guy Ernest Debord (December 28, 1931 - November 30, 1994) was a French Marxist theorist, writer, filmmaker, hypergraphist and founding member of the groups Lettrist International and Situationist International (SI). He was also briefly a member of Socialisme ou Barbarie.
Guy Debord was born in Paris. His father died early, and he was raised by his grandmother in a series of Mediterranean towns. He was a headstrong youth, and after graduating high school he dropped out of the University of Paris where he had been studying law. He became a revolutionary poet, writer and film-maker founding the Lettrist International schism with Gil J. Wolman. In the 1960s he led the Situationist International group, which influenced the Paris Uprising of 1968. Some consider his book Society of the Spectacle (1967) to be a catalyst for the uprising.[1]

In the 1970s Debord disbanded the Situationist International, and resumed filmmaking with financial backing from the movie mogul and publisher Gérard Lebovici (éditions Champ Libre). His two most recognized films date from this period: a film version of Society of the Spectacle (1973) and the autobiographical "In Girum Imus Nocte Et Consumimur Igni" (1978). After the dissolution of the Situationist International, Debord spent his time reading, and occasionally writing, in relative isolation, although he continued to correspond on political and other issues, notably with Lebovici and the Italian situationist Gianfranco Sanguinetti [2] and designed a war game [3]. He was married twice, to Michele Bernstein and Alice Becker-Ho.

His lifelong steady alcohol consumption began to take a toll on his health. Apparently to end the suffering from a form of polyneuritis brought on by his excessive drinking, he committed suicide,[4] shooting himself in the heart at his property (called Champot) in Bellevue-la-Montagne, Haute-Loire, on November 30, 1994.

In order to prevent the selling of Debord's archive to Yale University [5] the French Ministry of Culture officially declared it to be 'a national treasury', justifying this act by stating that "he has been one of the most important contemporary thinkers, with a capital place in history of ideas from the second half of the 20th century".[6]
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Guy Debord's best known works are his theoretical books, Society of the Spectacle and Comments on the Society of the Spectacle. In addition to these he wrote a number of autobiographical books including "Mémoires", "Panégyrique", "Cette Mauvaise Réputation..." and "Considérations sur l'assassinat de Gérard Lebovici". He was also the author of numerous short pieces, sometimes anonymous, for the journals "Potlatch", "Les Lèvres Nues," "Les Chats Sont Verts," and "Internationale Situationniste".

In broad terms, Debord's theories attempted to account for the spiritually debilitating modernisation of both the private and public spheres of everyday life by economic forces during the post-WW2 modernisation of Europe. He rejected as the twin faces of the same problem both capitalism of the West and the statism of the Eastern bloc. Alienation, Debord postulated, could be accounted for by the invasive forces of the 'spectacle' - "a social relation between people that is mediated by images". Debord's analysis developed the notions of "reification" and "fetishism of the commodity" pioneered by Karl Marx and Georg Lukács. This analysis probed the historical, economic and psychological roots of 'the media'. Central to this school of thought was the claim that alienation is more than an emotive description or an aspect of individual psychology: rather, it is a consequence of the mercantile form of social organization which has reached its climax in capitalism.

The Situationist International, a political/artistic movement organized by Debord and his colleagues and represented by a journal of the same name, attempted to create a series of strategies for engaging in class struggle by reclaiming individual autonomy from the spectacle. These strategies, including "dérive" and "détournement", drew on the traditions of Lettrism.
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